Les aléas climatiques à l’Est du Maroc. Crues impressionnantes !!!

Les aléas climatiques à l’Est du Maroc. Crues impressionnantes !!!

Depuis le vendredi 6 septembre 2024, le sud-est du Maroc fait face à de fortes averses orageuses, engendrant des crues de cours d’eau et des inondations impressionnantes dans plusieurs localités oasiennes (Errachidia, Tata, Ouarzazate, Zagora, Midelt..).

6 ans de sécheresse a été suivie sans préavis par des aléas climatiques qui ont déclenché des  inondations impressionnantes (des tsunamis d’eau).

La Direction générale de la météorologie (DGM) a annoncé des perturbations métrologique (niveau orange à rouge dans ces régions sans accorder l’importance à cet avertissement. Les gens au Maroc n’accordent pas ou peu d’intérêt aux annonces de la météorologie sauf peut être les fellahs des zones bour qui attendent toujours la pluie à des périodes précises.

Le sud et le sud-est du Maroc, ainsi que les régions de l’Atlas, sont depuis le vendredi 6 septembre sous l’influence d’une instabilité orageuse exceptionnelle. Selon la Direction générale de la météorologie (DGM), une masse d’air tropical extrêmement instable a provoqué de fortes averses orageuses et d’importantes précipitations, entraînant des crues phénoménales et dévastatrices des terrains agricoles, du cheptel des productions des infrastructures, des maisons, etc. mais ont beaucoup alimenté les barrages qui sont jusqu’ici presque vides.

La DGM fait ainsi état de précipitations record, avec notamment 170 mm enregistrés en une seule journée à Tagounite, commune rurale de la province de Zagora, dans la région de Drâa-Tafilalet, un chiffre inédit pour cette région. La région d’Ouarzazate n’a pas été non plus épargnée, recevant des précipitations de plus de 47 mm en moins de trois heures.

Des oueds oubliés se sont réveillés avec des charges d’eau sous forme de tsunamis emportant tout ce qu’elle trouve dans son chemin.

Malheureusement des morts et des disparus, bcp de dromadaires emportés, les ânes et mulets et les ovins aussi ,…….

Ce qui s’est passé est un cauchemar pour la population locale mais tout de même peut respirer car la soif les menaçait ainsi que leur cheptel. Comment faire pour minimiser les pertes et stocker le maximum de l’eau pour des périodes de sècheresse  de demain (un peu comme lors de la période de Sidna Youssef 

 Nous sommes prêts, comme toujours,  à nous engager auprès de tous pour apporter notre expertise à l’ensemble de l’édifice.

Aux bons entendeurs

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Lahcen kabiri

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